« Mais tu n’as qu’un enfant, tu peux pas comprendre. » ou encore « C’est facile quand on en a qu’un. ».
Combien de fois j’ai entendu ces phrases
Comme si n’avoir « qu’un seul enfant » devait nous culpabiliser de retrouver du temps libre, d’avoir des moments pour soi. D’avoir un rythme de vie d’apparence plus « facile ».
Sauf raison médicale, personne ne nous oblige à avoir 1, 2 ou plusieurs enfants. Chacun est libre de procréer autant de fois qu’il le souhaite, en toute connaissance de cause.
Pour avoir grandi en fratrie, nous sommes 4, je me rendais bien compte ce que signifiait d’avoir plusieurs enfants, d’autant plus que nous n’avons pas toujours été des cadeaux. Un jour, mes parents ne nous supportaient tellement plus, qu’ils nous ont balancé hors de la voiture (certes à 10min de chez nous, tout en nous suivant planqués, mais quand même!). Ca en dit long sur l’état d’épuisement et d’agacement dans lequel ils étaient
Mais vous savez quoi? J’avais quand même en tête de faire plein d’enfants. C’est comme quand on te dit: attention c’est chaud! Touche pas! Ben tu touches quand même ! Tant que t’as pas testé, tu peux pas savoir.
De notre côté, nous n’avons pas choisi de n’avoir « qu’un » enfant.
J’aurais adoré offrir cette chance à Lyna, mais nous n’en n’avons pas eu la possibilité. Enfin si, nous aurions pu, mais sans aucune garantie d’avoir un enfant en bonne santé. Alors nous avons opté pour la sécurité.
Et même si nous avions eu le choix et l’envie de rester à 3, personne n’a le droit de juger une famille n’ayant « qu’un » enfant, tout comme chacun est libre d’en avoir 6…!
Je ne vais pas m’excuser d’avoir 5 jours sans enfant parce qu’elle est en camp de ski et que je n’ai pas « l’autre enfant » à devoir gérer à la maison En plus de ça, j’adore la vie que Lyna apporte chez nous, et elle me manque terriblement quand elle n’est pas là. Je ne me réjouis pas qu’elle parte. Je ne me réjouis pas qu’elle reprenne l’école après les vacances car sa présence dans nos vies est une bénédiction. Évidemment qu’il y a des jours où j’en ai ras le bol de répéter 25 fois la même chose. Que j’en ai ras le bol de devoir lui courir derrière pour tout et n’importe quoi. Que ça demande beaucoup d’organisation quand on travaille à la maison et qu’on veut tout gérer soi-même. Mais c’est aussi en partie la pression que je me mets moi, toute seule comme une grande. Parce que ce pull qu’elle balance par terre, je pourrais le laisser là, négligemment sur le sol, et tant pis si il n’est pas lavé… sauf que, ben j’aime savoir que mon panier est vide et que plus aucun vêtement ne traîne.
Tout est question de priorités personnelles. De ce en quoi nous avons besoin pour trouver notre équilibre.
Un jour, les enfants seront grands. Saurons-nous à ce moment là nous arrêter et profiter de ce passage sur terre qui nous est donné ? La charge « imposée » par les enfants n’est elle pas un prétexte pour camoufler ce qui doit changer chez nous?
Pourquoi est ce que quand je me pose 2h au soleil à regarder une vidéo en pleine semaine, pendant des horaires de travail classiques, je culpabilis… ais? Parce que s’offrir du temps en dehors du schéma traditionnel, ce n’est pas « normal ».
Nous devons travailler, entretenir sa maison, s’occuper des enfants, faire à manger, rester en forme, avoir une vie sociale, …. Alors évidemment, c’est facile à dire quand on est indépendant et qu’on travaille pour soi. Mais on a d’autres responsabilités, d’autres soucis à gérer. D’autres charges à porter.
J’ai travaillé pendant 12 ans dans la société de ma maman. Avec des horaires de folie. J’étais l’héritière, j’allais reprendre cette société fondée quand j’étais enfant, et la faire perdurer. Je faisais heures supp sur heures supp, avais une vie à 200 à l’heure avec des responsabilités, et même si j’ai appris énormément, j’avais beaucoup de pression sur les épaules.
Je suis tombée enceinte en 2011. Fin 2011, en quelques minutes tout a basculé quand j’ai été hospitalisée pour naissance prématurée. Tout mon univers professionnel a été bouleversé ce jour là. Car tout devait « attendre », où être confié à quelqu’un d’autre que moi. Moi qui me voyais reprendre le chemin du travail à peine ma fille arrivée au monde, j’ai dû revoir toutes mes priorités.
La naissance de Lyna, nos 3 mois d’hospitalisation (1 pour moi, 2 pour elle) ont changé ma façon de voir le monde.
Après un congé mat’ traditionnel, j’ai repris le travail à contrecoeur. Mais la boîte comptait sur moi, je me devais de reprendre mon post et ma carrière.
Puis j’ai commencé à partager sur les réseaux. Mon compte a évolué. Je m’occupais de ma fille, de mon post de directrice, puis je passais plusieurs heures par jour sur les réseaux. C’était mon échappatoire, ma petite bulle virtuelle de bien être.
Fin 2017, j’ai pris la décision de quitter la société pour voler de mes propres ailes. Mes réseaux sociaux marchaient bien et les rapports mère/fille que j’entretenais avec ma maman étaient devenus catastrophiques, il fallait que je parte.
Mes réseaux ont continué d’évoluer. J’ai appris le métier d’entrepreneur sur le tas, tout comme j’ai appris à être maman et femme d’intérieur. Je n’ai jamais voulu prendre de bureau car « c’était des charges inutiles ». Et j’ai tout fait toute seule, épaulée par mon mari.
Tout allait d’apparence bien, jusqu’au COVID.
Le covid m’a complètement isolée. Plus d’événements, plus de voyages… Plus de contacts sociaux. Mon mari lui, continuait de travailler à Bienne. J’étais seule à la maison, avec ma fille, mon travail, les tâches du quotidien, et j’ai commencé à sombrer, petit à petit, sans vraiment m’en rendre compte.
Avant le covid, j’étais très souvent malade. Jaunisses à répétition, calculs rénaux, cystites hémorragiques, mononucléose qui ne partait pas, salmonellose, puis arthrite réactionnelle. Les médecins me disaient que j’étais une personne malchanceuse.
Or, je n’ai pas écouté la chance qui m’était servie sur un plateau. Mon corps essayait de m’envoyer des signaux. Et tous les warning étaient allumés!
Alors avec l’arrivée du covid, tous ces signes que je n’avais pas pris au sérieux sont devenus concrets. Ajoutez à cela 10ans de nuits merdiques et d’angoisses, et c’est l’explosion.
Début 2021 les premiers signes de dépression sont apparus mais je les ai enfouis car je n’avais pas le temps pour ça. Et puis en janvier 2022, le crash. Plus rien n’avait d’importance. Les tâches du quotidien étaient devenues insurmontables. Je pleurais tout le temps, pour tout, sans savoir pourquoi. J’avais une vie merveilleuse, mais n’étais pas heureuse. Le plus terrible c’est que j’étais incapable d’identifier ce qui n’allait pas. Je restais au lit des jours entiers. Je ne voyais plus personne. Mon travail était la seule chose qui me faisait me lever, et quelques rares personnes.
Mes nuits se sont transformées en angoisse intersidérale. Je ne dormais plus. Je me réveillais à 2h et impossible de me rendormir.
Tout a été remis en question. A commencer par ma présence sur les réseaux sociaux, et l’incohérence de vouloir vivre dans un monde meilleur tout en étant matraqués de produits de consommation en permanence. L’envie de vivre une vie sereine pour soi, tout en jalousant celle étalée sur Insta par d’autres… Quel intérêt? Et comment continuer à être attractive alors que tout part en vrille? Et enfin, comment avoir la prétention de penser que ma vie et mes partages sont plus intéressants que ceux de mon voisin? Vous voyez le genre…! Toutes les cartes ont été redistribuées, ou plutôt balancées au milieu d’une table, et je devais retrouver comment les réorganiser. Ce qui était impossible à faire seule.
J’ai fini par aller voir mon médecin qui m’a prescris des anxiolytiques pour m’aider à dormir et calmer mes angoisses. Je souffrais de stress chronique. Car à force de tirer sur la corde… Elle finit par se rompre. Je suis ensuite allée voir une psychologue avec qui on a tout déconstruit pour tout reconstruire. Ma légitimité et mon manque de confiance en moi, mon rôle de maman, mon haut degré d’exigence. Ce besoin que tout soit toujours parfait. Ces angoisses avec lesquelles je vivais depuis des années, cette peur de tout, de la mort, de la maladie, qui m’empêchaient de vivre sereinement, et qui indirectement, impactaient mon enfant.
Parallèlement, et à force de rencontres, j’ai eu la chance de compter autour de moi des personnes sensationnelles qui m’ont aidée énergétiquement à sortir la tête de l’eau, par leur présence, leur écoute, leur bienveillance. Des personnes enveloppantes qui m’ont aidée à retrouver mon chemin, à mettre de l’ordre dans mes besoins et mes envies. Des médecines dites alternatives, par le biais de massages ou de méditations.
Et puis mon mari, qui ne m’a jamais jugée. Qui a tenté de comprendre et m’a accompagné du mieux qu’il a pu. Il a été une force incommensurable dans l’envie d’aller mieux.
Avec le temps, les médicaments*, et un immense travail personnel inconfortable mais bien entourée, j’ai petit à petit remonté la pente. Mais il m’a fallu une bonne année pour enfin retrouver un équilibre. Laisser sortir mes émotions, apprendre à les accueillir et à les comprendre. Apprendre à m’écouter surtout et à ne pas culpabiliser si j’ai besoin de faire une pause. Apprendre à dire non, à ne plus tout accepter, même si ça vient de sa propre famille, car les liens du sang ne permettent pas tout.
J’ai pris beaucoup de distance avec le matériel, mais aussi avec de nombreuses personnes. J’ai appris à ne plus accepter les énergies négatives.
J’ai revu toute mon hygiène de vie. Je ne fais plus de choses qui me font du mal. J’ai trouvé des alternatives alimentaires et sportives qui me conviennent à 200%, et non pas parce qu’il faudrait que.
J’ai parcouru un long, très long chemin qui m’a appris énormément sur moi-même et sur les autres.
Aujourd’hui je suis très reconnaissante d’être passée par là avant qu’il ne soit trop tard. Je vis une vie plus apaisée, plus en accord avec mes valeurs. Je pense être une meilleure compagne de vie aussi, et une meilleure maman. J’accepte de ne pas être parfaite, et de faire comme je peux. Je suis fière du chemin accompli, même si la route est je l’espère encore longue. J’essaie aussi de mieux m’exprimer, de dire les choses, toujours avec respect bien évidemment.
Si j’ai décidé aujourd’hui de vous ouvrir ce chapitre de ma vie, c’est pour montrer à celles et ceux qui sont dans l’ombre, que le soleil reviendra, mais que vous devez impérativement accepter l’aide qu’on vous propose. Ce sera difficile, et ça remuera beaucoup de traumas enfouis. Mais c’est nécessaire pour faire un immense bond en avant et vivre une vie sereine et apaisée. Apprendre à être à l’écoute, et cesser de rejeter la faute sur les autres. Apprendre à faire des choix en adéquation avec ses aspirations, pour être plus léger au quotidien.
Cela aura aussi un impact direct sur votre entourage. Ma fille n’a quasi plus d’eczéma, et passe enfin ses nuits!
Quant à moi, j’ai stoppé mes anxiolytiques fin décembre. Je dors bien mieux qu’avant, et ai retrouvé mon énergie. J’ai beaucoup moins d’angoisses, et me sens bien plus confiante au quotidien. C’est aussi plus facile de gérer les crises d’une ado quand on a la tête sur les épaules et cela nous prend bien moins d’énergie. Evidemment que tout n’est pas terminé, et que je ne cesserai d’apprendre et de me remettre en question, mais avec bienveillance et respect envers moi-même.
J’ai choisi de prendre ce chemin rempli de cailloux, finalement bien plus intéressant que celui qui est lisse, mais avec les bonnes roues cette fois-ci! Afin de les épouser, et de faire avec eux dans les meilleures conditions possibles. Il y aura parfois quelques pierres qui m’obligeront à m’arrêter et à rediriger mon guidon. Mais je sais comment les traverser, et ne les contournerai plus.
Et aujourd’hui, je n’ai plus une once de culpabilité à me poser 2heures au soleil devant une vidéo, alors que ma machine à laver est pleine à craquer. Chaque chose en son temps <3
*Chaque traitement doit être déterminé selon le type de besoin. Je ne conseille en aucun cas de passer systématiquement par la case médicament.
Très touchant♥️
Je suis tjs fascinée par la force incroyable qu’on peut puiser en nous pour aller mieux un jour …
Nous avons tous qqch de si fragile et que nous cachons au monde…
Je te comprends du fond du cœur
ayant moi-même déjà vécu des épreuves très difficiles et des angoisses terribles
Se relever de ça nous donne bcp de confiance
Tu ne trouves pas?
Je t’envoie toute ma force et merci pour ton récit très sincère, tu es une belle personne
Merci pour ton message. Oui je te rejoins totalement.Fragiles mais forts à la fois. Le tout est de savoir conjuguer les deux pour en tirer le meilleur de chacun. Et oui, j’ai l’impression d’être changee si je regarde des photos de moi il y a 3 ans. Le chemin parcouru en valait la peine! Non pas que je dénigre qui j’étais bien au contraire! Mais je vois et comprends beaucoup de choses rien qu’en revoyant certaines images. Bravo à to aussi d’avoir surmonté tes épreuves <3
Quel courage et envie tu as du avoir. Tu peux être fière de ce parcours et des gens qui t’ont entourée.
Plein de personnes n’osent pas se faire aider et au combien c’est important et libertateur. J’ai fait un chemin similaire…crise des 40 ans ont me disait. Et bien aujourd’hui il y aurait encore a faire. Mais qu’est-ce qu’on se connait mieux après. Bravo pour ton partage. Dans la vie on a eu bien des choses en commun…enfant prématuré et ce parcours. Bien à toi et ta famille. J’ai été super contente de te rencontrer pour de vrai.
J’ai été très bien entourée. Je pense qu’on passe tous une fois par là, ça fait partie de l’apprentissage de la vie non? Bravo à toi d’avoir su écouter les signes pour te comprendre mieux. Pas facile mais comme tu dis, important et libérateur. Merci pour ton message <3
Merci pour ce partage et cette sincérité. Je te souhaite de continuer ton avancée vers la légèreté! Lyna peut être sacrément fière de sa maman! Votre trio familial vous porte au-delà des obstacles. C’est précieux.
Je te remercie pour tes mots, ton témoignage sur ce mal être si personnel, et si mal perçu selon les critères des « autres « . De quoi ce sentir mal de ne pas avoir le droit d’être mal, comme si cela était lié au nombre d’enfants, à la classe sociale, à une profession à l’aspect physique etc.. Ces critères qui nous font honte de se sentir mal, et nous oblige à devoir nous justifier encore et encore, jusqu’au jour où on se détache enfin du contrôle des gens sur nous et d’un coup, du contrôle qu’on a sur nous même… enfin le lâcher prise arrive, comme un bulle d’air qui nous aide à se sentir plus légère.
Je te souhaite de te sentir très légère, comme des bulles de champagne, pour t’autoriser à vibrer selon tes envies, à l’heure que tu as envie v.
Merci Véronique pour ton message si bien écrit. Oui tu as tellement raison… Ce jour où on se détache enfin, on comprend bien des choses! Et cette sensation de légèreté fait un bien fou au corps et à l’esprit <3
Merci beaucoup Emilie pour ton message qui m’a beaucoup touchée. 2022 a été une année de transitions! Pour toi aussi il me semble… Je t’embrasse fort et me réjouis de vous revoir <3
Merci d’avoir partagé cette étape de ta vie avec nous.
Le mal être, le négatif, le pas cool et les « cacas » qui jalonnent notre parcours de vie, en font partie à part entière et je trouve ça positif de le dire, de l’entendre et partager.
D’ailleurs en écrivant « parcours de vie », ça m’a rappelé ceci ;
En Inde, il existe un symbol – Unalome . Il représente le parcours de la vie « l’apprentissage de soit » afin d’un jour, atteindre le Nirvana, « la sérénité »… A son extrémité finale, il se termine par des points représentant « l’illumination ».
Chaque fois que je le regarde, il me rappelle à quel point je peux être fière de moi pour les étapes que j’ai déjà traversé. Mais… ça faisait très très longtemps que je ne l’avais pas regardé ni remémoré ce qu’il représentait pour moi. Alors ce soir, grâce à ton témoignage, j’ai pu m’en rappeler.
Alors pour ça, je te remercie.
Chaque histoire peut se ressembler mais elle est toujours unique. Personne n’a le droit de dénigrer la peine et les tourments qu’elle procure à celui ou celle qui la vie.
Ton message m’a beaucoup émue! Merci pour ce partage. Je ne connaissais pas ce symbol, mais j’ai hâte d’aller me renseigner. Bravo à toi pour ton chemin parcouru, car à te lire, tu transmets beaucoup de sérénité qui font du bien, preuve d’une belle introspection personnelle.
Continue de prendre soin de toi et merci <3
Magnifique texte et de nous le faire partager est un signe que tu vas sur une nouvelle voie , celle de la guérison même si le temps est long et sera encore chargé de soucis tu avances . Je trouve ça extraordinaire
Je suis de tout cœur avec toi et tu as bien raison de prendre du temps pour toi
C’est important je le fais pas assez souvent non plus car quand je le fais je me fais critiquer… alors toi
Continues c’est important ♥️
Oui! L’apprentissage n’est pas terminé mais devient toujours plus enrichissant et interessant car j’ai appris à me comprendre et à déceler les signes. Arrêtons de culpabiliser, et vivons sans penser à ce que les autres peuvent penser. Car nos choix personnels, ne les regarde pas. Merci de tout coeur pour ton message. Je t’embrasse, prends soin de toi <3
Merci infiniment pour ton magnifique témoignage, j’ai été très émue et j’ai même eu l’impression de vivre la même chose que toi.
Tu peux être fière du chemin parcouru..
En effet, arrêtons de culpabiliser!
Pleins de bénédictions à toi et ta famille.
J’espère, à bientôt (en vrai) !!!
N’oublie jamais que tu es une personne
« extra (ordinaire) »
Coucou ma belle Victoria,
Merci pour ton message. Je sais que nous avons une façon de voir la vie assez similaire… Avec beaucoup de pression et d’envies de réalisation. On apprend plus ou moins en même temps toi et moi. Oui ! Arrêtons de culpabiliser. Si simple à dire, mais moins a faire J’espère que tu vas bien. Toujours du plaisir à partager avec toi <3 Prends soin de toi
Chère Harmonie,
quel beau partage tout en sincérité et transparence ce qui fait énormément de bien dans le monde dans lequel nous vivons. Si tu savais dans combien de lignes je me reconnais sans pour autant encore avoir trouvé ton courage de tout chambouler pour mieux reconstruire.
Merci pour cette lumière apportée au travers de ton expérience.
Bien à toi
Coucou Ma belle Alex,
Merci pour ton message. On a un peu (un peu) le même vécu toi et moi. Professionnellement du moins. Cette pression qu’on nous a posé sur les épaules Si tu ne te sens pas prête, c’est ok. Avec un enfant en bas âge c’est plus compliqué. Laisse le temps faire les choses, car ça sert à rien d’entamer qqch si tu n’es pas prête. Mais d’ici là, essaie de garder de t’offrir des moments pour toi. Ils ne peuvent que te faire du bien.
Courage! Avoir déterminé que tu devais changer certaines choses est déjà un immense pas en avant <3
Merci
<3